Certains catholiques en ont assez de prendre des coups pour les prêtres qui ont fauté avec des mineurs, ce que la presse désigne sous le terme générique de « crimes pédophiles ».
En réalité, ces actes ne concernent que très marginalement des enfants, donc les qualifier de pédophilmes est un non sens.
Un non sens ?
Pas tant que cela. Le journaliste catholique Michael Voris accuse le lobby homosexuel des médias d'user et d'abuser du terme « pédophile » pour éviter de reconnaître que trois victimes sur quatre sont des adolescents mâles victmes de prêtres homosexuels incapables de respecter leurs voeux.
Il n'est pas nécessaire d'en appeler à un lobby. L'autocensure suffit. Je suis bien placé pour savoir que les médias évitent pour des raisons commerciales tout conflit avec des homosexuels.
Un exemple entre mille. J'ai récemment réalisé une couverture pour un grand éditeur. L'auteur et le directeur de collection avaient choisi un titre dans lequel le mot homosexualité apparaissait dans une connotation ambigue qui pouvait apparaître comme négative.
Le distributeur a immédiatement réagi en demandant que le titre et la couverture soient changés.
Interrogé, il a répondu que tout livre critique de l'homosexualité est boycotté par les chefs de rayon des grands magasins ou les acheteurs des grandes surfaces. Face à cette perspective l'éditeur a capitulé.
Le plus triste est que le livre ne critiquait pas les homosexuels mais il cherchait à provoquer un débat.
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1 commentaire:
Comment cet éditeur n'y a-t-il pas pensé ? Oublierait-il que nous vivons dans un monde où la liberté d'expression est un leurre pour les naïfs ? Que les "minorités" deviennent des majortités ? Qu'on ne peut plus sortir des sentiers battus ? Voilà qui est étonnant...
Heureusement qu'il ne s'agissait pas d'un livre sur les "minorités" musulmanes, je me demande ce qui aurait pu lui arriver.
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