De gauche à droite Casimiro García-Abadillo, un journaliste dont les enquêtes ont soulevé bien des lièvres sur les « lacunes » (pour ne pas dire plus) de l'enquête, l'expert Antonio Iglesias et Pedro J. Ramírez, directeur du quotidien El Mundo.
Le conseil de l'Ordre des chimistes de Madrid a validé l'étude de 500 pages menée par le chimiste Antonio Iglesias démolissant les bases factuelles de l'enquête sur les attentats du 11 mars 2004 à Madrid.
Voici un nouveau coup porté à la crédibilité de la thèse officielle sur les origines, les causes et les responsabilités de cet attentat.
Contrairement à ce qu'affirme le jugement, ce n'est pas du plastic provenant de la mine Conchita qui a explosé dans les trains, mais de la Titadyne, un explosif habituel de l'ETA.
Or, nul n'a été poursuivi ou condamné pour avoir livré de la Titadyne aux personnes présentées par la police comme étant les auteurs de l'attentat.
Le quotidien El Mundo est pratiquement le seul en Espagne à poursuivre l'enquête pour connaître les circonstances de l'attentat du 11 mars 2004. Il est dommage que les correspondants en Espagne de France Inter ou du Figaro ne lisent que la presse officielle comme El Pais.
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