Voici quelques semaines, le traitement réservé par le journaliste de Libération Jean-Dominique Merchet à un jeune officier de Légion, accusé d'être responsable de la mort d'un de ses hommes au cours d'un exercice, m'avait scandalisé. Relayant sans discernement des informations en droite ligne du dossier d'instruction, il a construit un dossier à charge relayant auprès du grand public les accusation de l'institution militaire.
Je voudrais aujourd'hui un tant soit peu rectifier le tir. Je n'ai rien à changer de ce que j'ai écrit précédemment, mais ajouter que malgré tout, Merchet demeure un des journalistes les mieux informés de la chose militaire et un de ceux qui permettent au grand public de suivre l'actualité en uniforme.
Je relève aussi souvent sur son blog de nombreuses preuves de sa liberté d'esprit par rapport aux valeurs en vigueur dans le petit monde du journalisme de gauche, bobo et bien pensant, dans lequel il travaille.
Prenons, par exemple, le simple fait de présenter côte à côte deux ouvrages sur la piraterie en Somalie, celui de l'amiral Laurent Mérer et celui de Gérard de Villiers, le célébrissime auteur de la série de romans SAS, exécré par les tenants du politiquement correct.
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mardi 19 mai 2009
Secret défense mérite mieux qu'un jugement lapidaire
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