La lettre de soutien du général Delaunay au lieutenant de Légion emprisonné à la Santé.
Libération n'aime pas lâcher ses proies. Surtout quand il s'agit d'une victime au profil incompatible avec les valeurs défendues par ce quotidien.
J.-D. Merchet, journaliste de Libération spécialisé dans les questions de défense et porte-voix officieux de l'état-major, a pris un malin plaisir depuis le début de l'affaire de ce jeune officier de Légion, accusé d'avoir causé la mort d'un de ses hommes pensant un exercice, à porter sur la place publique la version de l'institution, accablante pour le lieutenant.
Ce salarié de Libération n'a pas hésité par le passé à torturer des textes pour en faire des attaques en règle contre le jeune officier (qui n'était même pas cité) et à rédiger un reportage chez les « mous du genou » du 2e REP tellement à charge contre le lieutenant qu'il restera probablement dans les annales de la désinformation.
Visiblement, la remise en liberté du lieutenant reste en travers de la gorge à J.-D. Merchet. Il trouve le moyen de publier sur son blog une lettre de soutien du général Jean Delaunay, chef d'état-major de l'armée de terre de 1980 à 1983.
Les commentaires qui accompagnent la lettre sont très révélateurs de l'état d'esprit du journaliste. Espérons qu'ils contribueront à édifier les gentils gogos en uniforme qui fréquentent son blog et qui l'alimentent en informations.
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