mardi 19 mai 2009

Couilles molles


Je ne suis pas le seul (avec Criticus !) à m'étonner de la passivité des étudiants face aux nervis gauchistes qui interdisent à quelques uns l'entrée de certaines facultés à la grande masse des inscrits.

Je suis rejoint dans cette opinion par Françoise Thom, professeur d'Histoire contemporaine à la Sorbonne, après avoir été chargée de recherches à l'Institut de Polémologie.

Cette coupure de presse m'a été envoyée par un correspondant. Je crois qu'elle a été publiée par le Figaro mais je ne l'ai pas retrouvée sur le site internet du quotidien.

1 commentaire:

Kebel-Touseg a dit…

Comment les étudiants qui veulent vraiment étudier peuvent se laisser faire ? Les barrages, ça se force !